GA Concept en collaboration avec Inside Com organisent la 4ème édition du salon « Made in Morocco » (MIM), du 28 au 31 mars 2019 à Dakar, au Sénégal.

Le salon « Made in Morocco » est une vitrine exceptionnelle de l’expertise et du savoir-faire marocains.L’événement se veut le bras armé de la coopération économique du Maroc en Afrique. Sont attendus à cette quatrième édition une quarantaine d’exposants marocains, issus d’une dizaine de secteurs d’activités.

Premier investisseur étranger en Afrique de l’Ouest depuis quelques années, le Maroc est une véritable force industrielle. Sous la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Royaume s’est positionné en partenaire stratégique avec une offre exportable de valeur et une politique diplomatique et économique modèle, exclusivement tournée vers la dynamisation d’une coopération sud-sud mutuellement avantageuse.  C’est en droite ligne avec cette vision royale, que GA Concept a créé et pérennise « Made in Morocco ».

Première plateforme multisectorielle d’échanges entre le Maroc et l’Afrique sub-saharienne.

Vitrine-phare du « Made in Morocco », ce salon est une plateforme qui met en lumière l’étendu du savoir-faire et de l’offre exportable du Maroc. Il est aujourd’hui le premier évènement multisectoriel du Royaume à l’étranger et permet d’étaler et de faire découvrir la large gamme de produits, services et expertises du Maroc.

Plateforme d’échanges, de rencontres d’affaireset Networking par excellence, le salon «Made in Morocco» s’articule en 3 grands espaces et temps forts :

  • Un espace d’exposition de 1000 m2 regroupant une quarantained’exposants marocains, issus d’une dizaine de secteurs d’activités : Agroalimentaire, Immobilier et BTP, Textile, Maroquinerie, IT, Transport et Logistique, Cosmétique – Life Style, Santé et Bien-être, Tourisme, Industrie mécanique, Banque et Assurances, Energies et Mines….
  • Un espace de rencontres d’affaires «B2B».
  • Un espace conférence autour de la thématique « le Made in Morocco au service de la coopération interafricaine»,
  • Un fil rouge culturel (voir encadré): Parenthèse culturelle articulée autour de workshops,
  • Expositions inter-culturelles, animations musicales africaines…

Le fil rouge : une passerelle culturelle pour une meilleure rencontre entre le Maroc et le Sénégal.

Au-delà des considérations politico-économiques, il s’agit de poser le magnifique héritage culturel et artistique en arguments et essence de la coopération bilatérale entre le Maroc et le Sénégal.

Réputés pour leur audace créative et leur ouverture d’esprit, les artistes sont des « Ambassadeurs » par excellence qui peuvent transcender les clivages, les blocages et jeter des ponts entre les peuples.

Quelle belle manière alors de fêter les relations bilatérales que part l’Art. C’est dans cet esprit que s’inscrit la parenthèse culture « le fil rouge ». Une belle approche pour mieux se rencontrer, s’unir,  mieux aborder les préoccupations communes, mieux partager les visions du monde dans tous ses aspects. L’art pour supplanter tout ce qui désunit et accompagner les relations diplomatiques et économiques .

«Le fil rouge» incarne la volonté des organisateurs de créer un socle entre Casablanca et Dakar, pour que les artistes sénégalais et marocains  se retrouvent sur une plateforme et travaillent ensemble et enrichissent leurs cultures respectives.

Cette rencontre à Dakar est pour nous une amorce pour donner corps à un programme de partenariat inscrit dans la durée. Une manifestation à Dakar et une autre à Casablanca avec les artistes réunis le temps d’un symposium pour exprimer leurs visions du monde. Une exposition collective, des rencontres-débats et des séminaires pour mettre en avant les richesses culturelles d’une Afrique éternelle.

Faire du «Made in Morocco» un levier d’une coopération multidimensionnelle, mutuellement avantageuses et un vecteur d’émergence.

 

Le thème central de cette quatrième édition n’est pas fortuit, mais relève de la volonté du Royaume de construire des relations de coopération mutuellement avantageuses avec ses homologues africains. Au-delà de la promotion du « Made in Morocco », il s’agit  aussi et toujours de marquer un temps d’arrête pour décrypter les enjeux socio-économiques majeursde la coopération entre le Maroc et les pays frères et amis du continent dans le but deconstruire une  coopération multidimensionnelleet mutuellement avantageuses.

Avec sa volonté et ses expertises en bandoulière, le Maroc veut donner plus de sens à son appartenance continentale en apportant une réelle valeur ajoutée et en s’inscrivant dans la perspective de partage mutuellement bénéfique et de coopération constructive.

Consolider et renforcer la coopération bilatérale entre le Maroc et le Sénégal

Les deux premières éditions du salon « Made in Morocco », rappelons-le, tenues en Belgique ont réuni près de 40000 visiteurs et plus de 100 exposants. Après Abidjan qui a enregistré en 2018, pas moins de 3000 visiteurs, c’est au tour de Dakar d’accueillir l’évènement. Un choix qui n’est pas fortuit. Au-delà des relations exceptionnelles, bilatérales et séculaires entre le Sénégal et le Maroc, il s’agit de se renforcer sur un marché à fort potentiel de croissance. Les relations entre le Maroc et le Sénégal s’inscrivent dans une dynamique croissante et renforcée d’année en année. Cette dynamique est d’ailleurs perceptible à tous les niveaux, cependant, le potentiel des échanges commerciaux reste énorme. Ainsi, après un pic en 2012 dépassant les 2,1 milliards de dirhams, les exportations marocaines vers le Sénégal ont chuté à 1,2 milliard en 2014 pour remonter à 1,7 milliard en 2017.

Le Sénégal a l’ambition d’occuper la première loge dans le partenariat économique entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne. Si le Maroc se présente comme le hub de l’Afrique, le Sénégal revendique la porte d’entrée de l’Afrique de l’Ouest. A la faveur de la nouvelle stratégie de développement initiée par les autorités sénégalaises (Plan Sénégal Emergent), le pays ambitionne de porter la croissance de son PIB de 7 (en 2017 et 2018) à 8% dès 2019 et à deux chiffre en 2035. Pour y arriver, le Sénégal mise sur des secteurs productifs prioritaires: agriculture, élevage, agroalimentaire, écosystème construction, économie sociale, mines et fertilisants, tourisme, télécommunications… Ce qui ouvre de belles opportunités et perspectives de partenariats aux entreprises des deux pays.

IM