La chronique de Tanjazz

    (Infomediaire) – Ca y est, le coup d’envoi s’est opéré, mercredi 22 septembre, pour la 11ème du Tanjazz dans sa version automnale, sous une météo bien douce. C’était prévu, l’incroyable Blues Mama, Nina Van Horn, a mis le feu à la scène gratuite Veolia de la Place des Nations, tandis que les p’tits Casaoui et leurs amis francaoui de Kazaco peinaient un peu plus à convaincre les marlous du Port (spécialement éclairé de façon grandiose par l’organisation à la demande des autorités). Au palais, l’efficace Al Copley ouvrait le bal avec tonitruance, alors que les multiples espaces indoor prenaient leurs marques en souplesse. A noter, une délicieuse entrée en matière de la douce Amoria et de sa guitare au Tanjazz Café. Jeudi, les Cubains de Ruben Pazz ont allumé des lampions dans les yeux des vieux loups du port. Quant aux amoureux du piano et du cinéma Paradiso ils n’ont certainement pas manqué la séance de l’ami Jean-Pierre Como sur la scène BMCI. Et ça ne fait que commencer.