Le ministère de la Santé a catégoriquement démenti, mercredi, les allégations sur l’acquisition de tests de diagnostic rapide du coronavirus dont la date de validité aurait expiré.

Dans un communiqué en réponse à des informations rapportées par un journal sur l’achat d’équipements et de tests de diagnostic rapide de Covid-19, le département a souligné que l’article renferme de fausses informations visant à induire en erreur l’opinion publique par rapport à la date d’expiration des tests en question.

Le ministère a précisé que l’acquisition de ces tests sérologiques de haute qualité, conformes aux normes internationales en la matière, s’est déroulé selon un programme qui tient compte de la date de leur expiration comprise entre trois mois et un an au moment de leur réception.

Qualifiant d’infondées les allégations du journal, le ministère a affirmé qu’il s’agit “d’une tentative de minimiser les grands efforts déployés par le département afin d’endiguer la pandémie du coronavirus” et a dénoncé les “graves accusations à l’égard de ses cadres”.