« Pour faire œuvre de pragmatisme, le secteur de la santé doit être prioritaire. La première force de l’Etat doit aller dans le renforcement des capacités et des possibilités de prévention sanitaire et ce, dans les plus brefs délais. Une alliance combinée, réunissant le public et le privé pourrait propulser cet effort. Si la maîtrise de l’économie doit passer par la maîtrise de la santé, il s’agira par exemple d’associer l’industrie pharmaceutique, les laboratoires, les universités, la recherche scientifique et les fonds publics et privés pour optimiser au maximum les outils de protection et de soins, à même de permettre aux gens et aux acteurs de vivre, tout en prenant des risques d’exposition »

Soraya Kettani, Présidente de la Fondation Marocaine de la Bonne Gouvernance (Fomagov)