‘‘Le progrès de la technologie dans différents domaines, notamment celui de l’information et de la communication, et l’accès de plus en plus massif de larges pans des populations, notamment les jeunes, à ces technologies ont généré collatéralement des marges de pratiques criminelles sophistiquées dont essentiellement la cybercriminalité. Ces transformations exigent de nos Etats la mise en place d’un système de justice pénale, plus particulièrement un système pénitentiaire, qui soit en mesure non seulement d’assurer la sécurité publique et la protection des individus et de leurs biens, mais aussi d’élaborer et de mettre en œuvre des stratégies de préparation à la réinsertion des détenus et de mettre en place les structures et services connexes pour prévenir la récidive’’

Mohamed Salah Tamek, Délégué Général à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion