‘‘L’Algérie est responsable du prolongement du conflit artificiel autour du Sahara marocain. Si elle permettait la libre circulation des habitants des camps de Tindouf, la grande majorité de ces populations seraient retournés au Maroc, et le problème aurait été résolu. La chute des prix du pétrole qui affecte les revenus pétroliers du pays, sème la panique non seulement en Algérie mais également dans les rangs du polisario, dont les chefs craignent ses répercussions négatives sur les subventions qu’ils reçoivent d’Alger »

Román López Villicaña, Professeur Universitaire Mexicain