Le juriste marocain, Mohammed Ayat, qui assurait la vice-présidence du Comité des disparitions forcées des Nations Unies, depuis 2017, a été élu à Genève, par acclamation, à la tête dudit Comité.

Cette élection intervient suite au renouvellement de la composition du Comité après l’élection de cinq nouveaux membres au terme des travaux de la 5ème réunion des Etats Parties à la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées, tenue en juin dernier à New York.

Le choix porté sur le membre marocain dudit comité est une reconnaissance renouvelée du rôle du Royaume comme acteur majeur dans l’élaboration et la négociation de cette Convention.

Il illustre, de même, le crédit dont jouit le Maroc sur l’un des sujets les plus importants traités par les procédures spéciales du Haut-commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme.